HUITIÈME JOUR : APPEL À LA CONFIANCE
« De même, quand les âmes (les hommes) prient pour elles ou pour d’autres : si elles hésitent, si elles doutent de Moi, elles n’honorent pas mon Cœur, tandis qu’elles Le glorifient quand elles attendent avec sécurité ce qu’elles Me demandent, sachant bien que Je ne puis leur refuser que ce qui ne convient pas au bien de leur âme.
Quand le Centurion vint Me supplier de guérir son serviteur, il Me dit avec une grande humilité : « Je ne suis pas digne que Vous entriez dans ma maison… » Mais plein de foi et de confiance, il ajouta : « Cependant, Seigneur, dites seulement une parole et mon serviteur sera guéri. » Cet homme connaissait mon Cœur. Il savait que Je ne puis résister à la supplication d’une âme qui attend tout de Moi… Cet homme M’a grandement glorifié, car à l’humilité il a joint la ferme et entière confiance… Oui, cet homme connaissait mon Cœur. Et pourtant Je ne m’étais pas manifesté à lui comme Je me manifeste à mes Âmes choisies.
C’est par la confiance qu’elles obtiendront d’innombrables grâces, non seulement pour elles, mais aussi pour les autres, et c’est ce que Je veux qu’elles comprennent à fond, car Je désire qu’elles révèlent les traits de mon Cœur aux pauvres âmes qui ne Me connaissent pas. »
Notre-Seigneur à Josefa le 5 décembre 1923